La bibliothèque du quartier Albert, à Forest
Quand notre appartement est beau, selon nos critères, que l’on trouve plaisir à contempler notre bibliothèque organisée, nous n’avons alors qu’une envie, les maintenir dans cet état pour les préserver dans leur grâce.
Jocelyne ne recevait plus chez elle, un espace trop encombré ne la mettait plus en confiance pour accueillir ses amis avec légèreté.
Votre œil se pose sur une pile de papiers, sur des livres qui se superposent en attente d’être lus ou posés de telle sorte que vous oubliez leur existence même. Des tiroirs qui débordent ou leur fonction devient un cache misère. Cette accumulation visuelle finit par nous peser dans notre quotidien, que ce soit physiquement ou émotionnellement.